Atelier Cinéma 2012


  • Au delà des collines : clic
Alina revient d'Allemagne pour y emmener Voichita, la seule personne qu'elle ait jamais aimée et qui l'ait jamais aimée. Mais Voichita a rencontré Dieu et en amour, il est bien difficile d'avoir Dieu comme rival.


  • Vous n'avez encore rien vu : clic
Au vu des programmes de ciné à Marseille peu alléchants ,j'ai hésité entre le film d'animation de Patrice Lecomte : le magasins des suicides" et le dernier Resnais même si je sais que ce dernier ne fait pas l'unanimité. Compte tenu de la distribution du film de Resnais, " vous n'avez encore rien vu"  Je l'ai choisi : il se joue au PRADO :séance à 14H15 donc RV à 14H devant le ciné.
Pour faciliter " l''entrée" dans le film, je vous joins un article du nouvel obs : le liront ceux qui voudront!!!  A bientôt Aline


  • Les Neiges du Kilimandjaro : clic


  • Le Havre

Marcel Marx, ex-écrivain et bohème renommé, s’est exilé volontairement dans la ville portuaire du Havre où son métier honorable mais non rémunérateur de cireur de chaussures lui donne le sentiment d’être plus proche du peuple en le servant. Il a fait le deuil de son ambition littéraire et mène une vie satisfaisante dans le triangle constitué par le bistrot du coin, son travail et sa femme Arletty, quand le destin met brusquement sur son chemin un enfant immigré originaire d’Afrique noire.
Quand au même moment, Arletty tombe gravement malade et doit s’aliter, Marcel doit à nouveau combattre le mur froid de l’indifférence humaine avec pour seules armes, son optimisme inné et la solidarité têtue des habitants de son quartier. Il affronte la mécanique aveugle d’un Etat de droit occidental, représenté par l’étau de la police qui se resserre de plus en plus sur le jeune garçon réfugié.
Il est temps pour Marcel de cirer ses chaussures et de montrer les dents
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J'ai vu "Le Havre" J'en ai été ravi. Dans un cadre de gens simples et dignes, un problème de société, l'émigration, les clandestins, tout ce potentiel humain, énergétique, repoussé, ignoré. Mais un sujet grave, désolant, traité dans un style particulier, dans la sobriété, sans aucune scène de violence. J'ai été ému, pris aux tripes même si, pour les besoins du cinéma, certaines scènes manquaient de vérité, de naturel ; mélange de modernité et d’archaïsmes.

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