20 mai
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CR du mois d'octobre : clic Atelier de septembre
: clic
22 janvier 2011 : Atelier
S sur Bede Griffiths
Nous avons choisi d’étudier et de partager nos
réflexions sur le livre de BG : « Expérience chrétienne et mystique
hindoue »
Vendredi nous abordions le chapitre sur les Védas. A ce point ou
ailleurs, chaque passage nous interpelle. Nous avons hâte de parler
sur nos découvertes bien que l’expression sur ce sujet soit assez difficile.
Il serait souhaitable peut être que nous nous imprégnons plus de la
parole de l’autre avant d’intervenir.
Ce petit livre est très dense et résume toute la vie de l’auteur
pour tenter de réunir l’Orient et l’Occident autour d’une recherche de
Dieu. Il a passé plus de trente cinq anné
es en Inde et a réussi à intégrer des vérités qui, là bas, ne peuvent
s’énoncer autrement que par le mythe. Il exprime justement, dans des passages
denses, le moyen de dire à l’homme moderne sa foi dans le Christ, l’Eglise
et dans l’avenir.
Nous pointons des détails intéressants comme le Prakriti, la conscience
pure, le non manifesté, le monde de l’Esprit et les moyens proposés, les
étapes pour y accéder comme la méditation.
Je suis à Paris
(le 21) mais j'ai en mains le livre de Griffiths qui mériterait de ne
pas me quitter tant il est riche.
Chaque phrase pourrait être
un sujet de méditation. Je lis et relis les différente passages en ayant
l'impression de les découvrir sans cesse.
Je m'attarde ce soir sur les
page 70 à 80. La description des trois termes de la Réalité suprème dans
les Upanishads. Brahman, Atman et Purusha, la consience pure. Le buddhi
et les manas ... La conscience cosmique
J'imagine qu'il ne sera pas
facile de faire un résumé de vos échanges mais je vous souhaite d'être
inspirés et surtout à l'écoute de la parole de chacun. Je pense que tous
nous détenons une parcelle de vérité et c'est une chance de la percevoir
et de la découvrir dans la parole que nous donnons au groupe. (Marc)
Le 22/02/2011 22:24, Bernadette Schwartz a écrit :
... quelques impressions de notre réunion de
lundi 21/2/11 .
Echanges toujours très riches
où nous avons regretté que tu ne sois pas là pour nous éclairer
sur le vocabulaire des upanishads qui nous est étranger et qui
rend le texte un peu compliqué à comprendre. Nous y
retrouvons les mêmes concepts: le Dieu transcendant et immanent
à travers les figures du Brahman et d'Atman. Mais il me semble
que l'Indouisme nous ouvre sur un monde moins cadré par la Parole.
et plus tourné vers une conscience universelle sensible à la nature
à la création au Cosmos. Le corps dans la mesure où nous nous libérons
de notre besoin de verbaliser et de rationnaliser peut nous aider
à atteindre cet état de conscience universelle :"une personne
n'est pas un centre de conscience fermé mais ouvert, elle est
relation." La doctrine de la non dualité nous entraine vers un
état d'harmonie. La méditation peut nous aider dans cette approche.
Comment la pratiquer? Le silence ,qui n'est pas le vide, est difficile
à faire. C'est par là peut être que nous pouvons atteindre
l'incrée...;
Notre prochaine réunion est
fixée au 18 Mars même lieu même heure On lira la révélation
judaïque jusqu'à la page 99 et plus si nous en avons envie...
J'apprécie
énormément la façon dont tu exprimes ce qui est
pratiquement très difficile à formuler. Pour moi ce n'est
qu'en relisant plusieurs fois le texte que j'arrive à éclairer
ma conscience. Comme tu l'écris c'est dans la méditation que
nous pouvons arriver à en approcher le sens, la substantifique
moelle. Surtout je crois qu'il vaut mieux se détacher de la
compréhension rationnelle dans un premier temps pour pouvoir y
revenir ensuite à l'exemple de ceux qui comme Griffiths ont
consacré leur vie à cette spiritualité.
J'étais
invité l'autre jour à une séance de médiation
bouddhiste "la Sangha" et j'ai admiré comment après avoir fait
silence et médité ensemble les participants partagent sur le
thème du jour ou sur ce qu'ils veulent mais dans une écoute
très respectueuse et sans jamais se contredire ou se couper la
parole. Une belle leçon pour nos rencontres que je trouve parfois trop
bavardes.
(Marc)
Atelier du 18 mars
Nous cherchons un mode de fonctionnement qui nous
convienne et il semble que ce soit le partage informel qui rassemble les
suffrages.
Il ne parait pas nécessaire de faire de comte rendu.
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le 18 mars
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