Les activités de l'atelier Spiritualité en 2011

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22 janvier 2011 :  
Atelier S sur Bede Griffiths
Nous avons choisi d’étudier et de partager nos réflexions sur le livre  de BG :  « Expérience chrétienne et mystique hindoue »
Vendredi nous abordions le chapitre sur les Védas. A ce point ou ailleurs, chaque passage nous interpelle. Nous avons hâte de parler sur nos découvertes bien que l’expression sur ce sujet soit assez difficile. Il serait souhaitable peut être que nous nous imprégnons plus de la parole de l’autre avant d’intervenir.
Ce petit livre est très dense et résume toute la vie de l’auteur pour tenter de réunir l’Orient et l’Occident autour d’une recherche de Dieu. Il a passé plus de trente cinq anné
es en Inde et a réussi à intégrer des vérités qui, là bas, ne peuvent s’énoncer autrement que par le mythe. Il exprime justement, dans des passages denses, le moyen de dire à l’homme moderne sa foi dans le Christ, l’Eglise et dans l’avenir.
Nous pointons des détails intéressants comme le Prakriti, la conscience pure, le non manifesté, le monde de l’Esprit et les moyens proposés, les étapes pour y accéder comme la méditation.


Je suis à Paris (le 21) mais j'ai en mains le livre de Griffiths qui mériterait de ne pas me quitter tant il est riche.
Chaque phrase pourrait être un sujet de méditation. Je lis et relis les différente passages en ayant l'impression de les découvrir sans cesse.
Je m'attarde ce soir sur les page 70 à 80. La description des trois termes de la Réalité suprème dans les Upanishads. Brahman, Atman et Purusha, la consience pure. Le buddhi et les manas ... La conscience cosmique
J'imagine qu'il ne sera pas facile de faire un résumé de vos échanges mais je vous souhaite d'être inspirés et surtout à l'écoute de la parole de chacun. Je pense que tous nous détenons une parcelle de vérité et c'est une chance de la percevoir et de la découvrir dans la parole que nous donnons au groupe. (Marc)


Le 22/02/2011 22:24,  Bernadette Schwartz a écrit :
... quelques impressions de notre réunion de lundi 21/2/11 .
Echanges toujours très riches où nous avons regretté que tu ne sois pas là pour nous éclairer sur le vocabulaire des upanishads qui nous est étranger et qui rend le texte un peu compliqué à comprendre. Nous  y retrouvons les mêmes concepts: le Dieu transcendant et immanent à travers les figures du Brahman et d'Atman. Mais il me semble que l'Indouisme nous ouvre sur un monde moins cadré par la Parole. et plus  tourné vers une conscience universelle sensible à la nature à la création au Cosmos. Le corps dans la mesure où nous nous libérons de notre besoin de verbaliser et de rationnaliser peut nous aider à atteindre cet état de conscience universelle :"une personne n'est pas un centre de conscience fermé mais ouvert, elle est relation." La doctrine de  la non dualité nous entraine vers un état d'harmonie. La méditation peut nous aider dans cette approche. Comment la pratiquer? Le silence ,qui n'est pas le vide, est difficile à faire.  C'est par là peut être que nous pouvons atteindre l'incrée...;
 Notre prochaine réunion est fixée au 18 Mars même lieu même heure On lira la révélation judaïque jusqu'à la page 99 et plus si nous en avons envie...


J'apprécie énormément la façon dont tu exprimes ce qui est pratiquement très difficile à formuler. Pour moi ce n'est qu'en relisant plusieurs fois le texte que j'arrive à éclairer ma conscience. Comme tu l'écris c'est dans la méditation que nous pouvons arriver à en approcher le sens, la substantifique moelle. Surtout je crois qu'il vaut mieux se détacher de la compréhension rationnelle dans un premier temps pour pouvoir y revenir ensuite à l'exemple de ceux qui comme Griffiths ont consacré leur vie à cette spiritualité.
J'étais invité l'autre jour à une séance de médiation bouddhiste "la Sangha" et j'ai admiré comment après avoir fait silence et médité ensemble les participants partagent sur le thème du jour ou sur ce qu'ils veulent mais dans une écoute très respectueuse et sans jamais se contredire ou se couper la parole. Une belle leçon pour nos rencontres que je trouve parfois trop bavardes.
 (Marc)

Atelier du 18 mars
Nous cherchons un mode de fonctionnement qui nous convienne et il semble que ce soit le partage informel qui rassemble les suffrages.
Il ne parait pas nécessaire de faire de comte rendu.









le 18 mars















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